L’Agence des Consommations Énergétiques (ACE) est un acteur incontournable sur le marché des énergies renouvelables depuis plus de vingt ans.
Ces énergies qui n’engendrent pas ou peu de déchets et ne sont pas sources de pollution sont issues du soleil, du vent, de la chaleur du sol, des chutes d’eau, de la croissance des végétaux ou encore des marées participant ainsi à lutter contre l’effet de serre et à limiter les rejets de CO2 dans l’atmosphère. Et de manière plus générale, les énergies renouvelables constituent un véritable levier dans la gestion raisonnée des ressources locales.
A l’inverse des énergies fossiles, aussi appelée « énergies stock », aujourd’hui en voie de raréfaction (pétrole, charbon, lignite, gaz naturel), le solaire (solaire photovoltaïque, solaire thermique), l’hydroélectricité, l’éolien, la biomasse, la géothermie sont des énergies qui ne s’épuisent pas.
Grâce aux énergies renouvelables et en optimisant la performance énergétique de l’habitat, ACE environnement s’est donc donné pour objectif d’accompagner les foyers français dans leur transition énergétique.
Mais qu’est-ce que la transition énergétique exactement ?
Au sens large, la transition énergétique consiste à modifier de manière structurelle les modes de production et de consommation de l’énergie. Elle constitue un volet de la transition écologique. Lorsque les entreprises, les populations et bien sûr les gouvernements souhaitent réduire les effets de la consommation d’énergie sur l’environnement, il en résulte la mise en marche d’un changement, changement dans la manière de produire et de consommer l’énergie, à l’échelle mondiale, à l’échelle nationale et bien sûr à l’échelle de chaque foyer.
Sur le plan national, plusieurs scénarios de transition énergétique ont été proposés par les institutions gouvernementales et les ONG. Bien souvent, la proposition réside essentiellement à transiter du système de production d’énergie existant qui s’appuie sur la consommation des ressources fossiles, donc non renouvelables, vers un fonctionnement qui allie la consommation d’une majorité d’énergies renouvelables avec un minimum d’énergies qui ne le sont pas. L’idée générale étant, à terme, pour la majorité des activités indispensables à la société humaine telle que nous la vivons aujourd’hui (transport, industrie, éclairage, chauffage, etc) de remplacer le recours aux combustibles fossiles (matières radioactives comme le plutonium ou l’uranium) par des énergies renouvelables.
Nous l’aurons compris, la transition énergétique consiste en de nombreux changements, à de nombreux niveaux. Elle nécessite de réduire la demande d’énergie et donc d’améliorer l’efficacité des constructions. Mais elle passe aussi par un changement dans les comportements. Elle implique donc une transition comportementale et sociotechnique.
Comment se passe la transition énergétique à l’échelle d’un foyer ?
C’est là tout le défi d’ACE Environnement. Accompagner et faciliter le changement vers la consommation des énergies renouvelables dans les principaux postes quotidiens que sont le chauffage, l’éclairage, l’eau chaude sanitaire à la fois pour l’habitat des particuliers et pour les entreprises. L’atteinte de cet objectif passe avant tout par un diagnostic poussé des bâtiments. Ce bilan énergétique va permettre de cibler les points d’amélioration et de proposer les solutions les plus adaptées à la fois aux lieux et au rythme de vie de ses occupants ; avant tout, en matière d’isolation mais aussi des technologies respectueuses de l’environnement (aérothermie, géothermie, biomasse, solaire thermique et photovoltaïque, éolien, isolants bio etc) et d’amener la population vers l’indépendance énergétique.
L’utilisation de l’éolien ou de panneaux solaires pour produire tout ou partie de son électricité est une pratique qui se généralise. Mais au-delà de la production, le vrai but est de pouvoir conserver son électricité afin de pouvoir prendre en charge ses besoins lorsque la source d’énergie vient à manquer (la nuit, ou lorsqu’il n’y a pas de vent ou qu’il n’y a pas de soleil). En effet, les énergies renouvelables sont intermittentes, à commencer par celle du vent et celle du soleil qui imposent d’être stockées. Sur le plan national et lorsqu’il est possible de créer un réseau, stocker l’énergie est facile grâce aux barrages hydroélectriques par exemple.
Les batteries à Lithium-ion, actuellement la seule solution pour les particuliers
Mais à l’échelle des particuliers, pour le stockage individuel, ce genre de solution ne fonctionne pas. Aujourd’hui, une seule solution existe : l’utilisation de batteries, dont les performances progressent de jour en jour laissant espérer des solutions raisonnables pour les années à venir.
Les batteries dites à Lithium-ion constituent la principale innovation connue récemment et diffusée à large échelle. Parce que leur densité énergétique est très élevée, ces batteries sont utilisées pour l’essentiel de nos appareils : du téléphone portable à la voiture électrique. Techniquement, cette batterie atteint 150 WH/kg. Plus concrètement ? Lorsqu’elle fait 1 kilogramme, une batterie lithium-ion stocke suffisamment d’énergie pour alimenter un appareil consommant 1 watt pendant 150 heures. En comparaison, les premières, commercialisées en 1991 ne dépassaient pas les 80 WH/kg ; quant aux batteries au plomb, leur capacité de stockage ne dépasse pas les 50 WH/kg.
De manière générale, les performances des batteries varient selon le type de batterie et c’est grâce au nombre de cycles de charge et décharge tolérables que se mesurent réellement leurs performances. Dans le cas du stockage d’énergie pour l’habitat des particuliers, la vitesse à laquelle la batterie se décharge est aussi un critère important. L’énergie photovoltaïque par exemple, nécessite que la batterie puisse tolérer une décharge lente. Techniquement, qu’il s’agisse d’éolien ou de panneaux solaires, les deux installations alimentent une batterie électrique lithium-ion en passant par des régulateurs. En effet, ils sont indispensables pour contrôler la charge et permettent de fournir une tension continue de 12V directement exploitable une fois converti en courant alternatif 220 ou 230V par un convertisseur (transformateur ou redresseur).
Côté coût ?
Dans le cas de l’habitat individuel, les batteries restent un complément de l’alimentation électrique traditionnelle car leur coût est encore élevé. Il faut aussi noter que le lithium est un métal dont les réserves mondiales s’épuisent et ne constitue pas une solution viable pour l’avenir, même s’il reste aujourd’hui le métal le plus léger de tous. Mais les voies de recherches sont encore nombreuses, les ingénieurs étudient notamment les pistes des nanotubes de carbone, ou encore les photo-commutateurs.
Pour assurer une alimentation électrique stable avec des sources d’énergie renouvelables intermittentes dans le cadre d’une production à l’échelle de l’habitat individuel, le stockage reste donc un facteur clé.
Sujet à enjeux multiples, la transition énergétique passionne Ace Environnement
D’ici à 2020, le passage par le mix énergétique et la combinaison des énergies fossiles et des énergies renouvelables dans nos modes de consommation est indéniable.
Passionnés par cette problématique et ses enjeux, les dirigeants d’ACE Environnement ont mis à un point d’honneur à développer une stratégie commerciale basée sur l’éthique. Un principe incontournable sur un marché à fort potentiel et bientôt aussi pour l’ensemble des foyers français. Et c’est grâce au développement d’un réseau de concessionnaires exclusifs et indépendants depuis 2016, que l’enseigne s’attache à nouer une relation de confiance et de proximité avec ses clients sur l’ensemble du territoire. Le réseau A.C.E. c’est aujourd’hui 5 agences en Ile de France : à Soissons (02), Senlis (60), Emerainville (77), Longpont sur Orge (91) et Champigny sur Marne (94).
Concrètement, que fait ACE pour les particuliers et les entreprises ?
ACE propose un bilan énergétique gratuit de l’habitat permettant ainsi de cibler les points d’amélioration à y apporter. Ce bilan permet de visualiser sa consommation d’énergie en temps réel et donc de mieux contrôler ses dépenses en électricité. Quelques chiffres attestent de son efficacité ; sur une facture annuelle de 1750 euros, l’économie peut aller jusqu’à 350 euros par an. Une fois l’étape du bilan effectuée, ACE propose un panel de solutions techniques permettant l’amélioration de l’habitat : l’isolation des combles sous toiture en « Ouate de Cellulose », l’installation d’éclairage LED, de Chauffe-eau solaire thermique, de Compteur éco-comportemental, de Plancher chauffant « IRL » infrarouge lointains, de Ballon thermodynamique et de pouvoir passer à l’Indépendance énergétique.
Et parce que les problématiques liées à la rénovation énergétique et aux différents moyens à mettre en œuvre pour diminuer les dépenses en énergie sont nombreuses, la mission d’ACE est aussi de conseiller ses clients. Elle propose donc ses compétences en conduite de projet et accompagne ses clients sur la partie financière de leur dossier pour optimiser au mieux le passage aux énergies renouvelables, voire à l’indépendance énergétique. Gage de la qualité de ses prestations, l’entreprise est officiellement titulaire du label RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Cette certification est délivrée par un organisme de qualification (Qualibat, Qualit’EnR, Qualifelec) ou de certification (Cequami, Certibat). Ces organismes ont pour mission de délivrer un véritable programme de formation aux entreprises candidates, mais aussi de vérifier parmi de nombreux critères, notamment leur volume d’activité, le respect de certains critères légaux et administratifs, leurs compétences, et de quelle manière elles gèrent leur sous-traitances. Depuis le 1er janvier 2015, seule l’intervention d’entreprises ayant obtenu ce Label permet l’obtention du crédit d’impôt développement durable (CIDD) dans la cadre de travaux de rénovation énergétique (isolation des murs ou de la toiture, installation d’un équipement utilisant une énergie renouvelable, etc.). Reconnu par l’Etat, il ouvre également droit à l’attribution d’aides publiques telles que l’Eco prêt (accordé sans condition de ressources sous réserve que le logement existant dans lequel sont réalisés les travaux soit occupé à titre de résidence principale, et cela dans un délai maximal de six mois après la transmission des justificatifs prouvant que les travaux ont été effectivement réalisés).